Être conseiller environnemental chez Syngenta

Notre responsabilité
Dominique Plancherel we care

Dans quelle mesure les normes de sécurité ont-elles évolué dans l’industrie chimique et pharmaceutique ces dernières années?

L’industrie chimique et pharmaceutique a fait beaucoup de progrès en matière de sécurité et de protection de l’environnement. Notre organisation faitière des industries scienceindustries a récemment publié une brochure sur ce sujet afin d’expliquer comment, les principes de Responsible Care ont permis d’implémenter des mesures de sécurité et de protection de l’environnement. Elle contient aussi des interviews réalisées avec des employés de Syngenta qui expliquent ce que l’entreprise fait pour la sécurité des individus et de l’environnement dans le domaine de la production et du stockage.

Lisez ci-après l’article extrait de la brochure « We Care » de scienceindustries avec Dominique Plancherel, Global Environmental Technology Manager.
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Dominique Plancherel s’est rendu dans toutes les usines Syngenta du monde entier. Il est conseiller en technologies de l’environnement et met en réseau les sites de production et les savoir-faire.

« Je suis un généraliste. Un peu comme le médecin de famille. Je peux vous dire ce que vous avez. Mais ce n’est pas moi qui pourrai vous opérer. » C’est en ces termes accessibles à tous que le chimiste Dominique Plancherel résume son poste chez Syngenta. Si Dominique Plancherel est situé à Monthey, son poste de « Global Environmental Technology Manager » est orienté à l’international. Il déclare : « Mon poste n’existe que depuis six ans. »

Son travail est notamment intégré à la production. Il veille à l’amélioration de la fabrication des substances actives traditionnelles en aidant les usines du monde entier à optimiser leurs technologies de production. Parallèlement, il seconde l’introduction de nouvelles substances, notamment quand il s’agit de déterminer leur toxicité. Avec ses collègues de Münchwilen, Dominique Plancherel étudie bien à l’avance tous les aspects de la toxicité, même sur les produits intermédiaires. Il doit également se poser la question du recyclage des produits, et chercher en quoi il est possible de les améliorer pour les rendre plus écologiques.


Sa principale mission est de mettre en réseau et de coordonner les savoir-faire. Depuis la création de son poste, les choses ont-elles changé ? Dominique Plancherel rit : « Je l’espère. Sinon, cela voudrait dire que ce que je fais n’a aucune valeur. C’est certainement une amélioration significative : un suivi rigoureux de tous les projets est essentiel. Dans l’ensemble, je fais en sorte que nous interagissions mieux et que nous puissions agir le plus tôt possible. C’est ce qui rend notre production plus flexible, mais aussi plus sûre. »